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Les émissions de GES renvoient à la somme des sept gaz à effet de serre qui influencent directement le changement climatique : dioxyde de carbone (CO2), méthane (CH4), hémioxyde d'azote (N2O), chlorofluorocarbones (CFC), hydrofluorocarbones (HFC), perfluorocarbones (PFC), hexafluorure de soufre (SF6) et trifluorure d'azote (NF3). Les données sont exprimées en équivalents CO2 et portent sur les émissions brutes directes provenant des activités humaines. Les données sur le CO2 renvoient aux émissions brutes directes dues à la combustion d'énergie uniquement et proviennent de l'Agence internationale de l'énergie. Les autres émissions atmosphériques sont celles d'oxydes de soufre (SOx) et d'oxydes d'azote (NOx), exprimées en quantités de SO2 et de NO2, de monoxyde de carbone (CO) et de composés organiques volatils (COV), hors méthane. Les émissions atmosphériques et de GES sont mesurées en milliers de tonnes, tonnes par habitant ou kilogrammes par habitant, sauf celles de CO2, qui sont mesurées en millions de tonnes et tonnes par habitant.
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Les particules fines (PM2.5) peuvent être inhalées et causer de graves problèmes de santé, en particulier des maladies respiratoires et cardiovasculaires, les effets les plus sévères se produisant chez les enfants et les personnes âgées. Il a été montré que l'exposition aux PM2.5 augmente considérablement le risque de maladies cardiaques et d'infarctus en particulier. Les estimations de coût ne représentent que le coût des décès prématurés. Ils sont calculés à l'aide des estimations de valeurs d'une vie statistique (VVS) et du nombre de décès prématurés imputables à la pollution de l'air ambiant par les particules. Les données se réfèrent à l'exposition de la population à plus de 10 microgrammes / m3 et sont exprimées en moyennes annuelles.
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Les particules fines (PM2.5) peuvent être inhalées et causer de graves problèmes de santé, en particulier des maladies respiratoires et cardiovasculaires, les effets les plus sévères se produisant chez les enfants et les personnes âgées. Il a été montré que l'exposition aux PM2.5 augmente considérablement le risque de maladies cardiaques et d'infarctus en particulier. Les estimations de coût ne représentent que le coût des décès prématurés. Ils sont calculés à l'aide des estimations de valeurs d'une vie statistique (VVS) et du nombre de décès prématurés imputables à la pollution de l'air ambiant par les particules.
Air et climat
Les émissions de polluants et de gaz dues aux activités humaines ont de nombreux effets préjudiciables à l'environnement aux niveaux local, régional et mondial. Les émissions de gaz à effet de serre (GES) amplifient l'effet de serre naturel, d'où des variations des températures et d'autres conséquences pour le climat de la Terre. Des polluants atmosphériques tels les oxydes de soufre (SOx) et d'azote (NOx), le monoxyde de carbone (CO) et les composés organiques volatils (COV) contribuent à la pollution de l'air à l'échelle locale et régionale, et nuisent à la santé humaine et aux écosystèmes.
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