Les performances en matière d’emploi ont renoué avec les niveaux constatés avant la crise
Des tendances contrastées en matière de qualité des emplois
Si l’inclusivité s’est améliorée sur les marchés du travail, la pauvreté reste source d’inquiétude
La croissance des salaires tarde à se redresser par rapport à la baisse du chômage
Le ralentissement de la croissance des salaires touche l’ensemble de l’échelle des rémunérations
La faible inflation et le ralentissement de la productivité ont entraîné une baisse de la progression des salaires depuis la crise
La fréquence du travail à temps partiel subi s’est accrue après la crise jusqu’à la phase initiale de la reprise, pour diminuer ensuite
Depuis la crise, les effets de composition globaux de l’emploi à temps partiel n’ont cessé de peser sur la croissance des salaires
Le différentiel de croissance moins marqué entre les salaires des emplois à temps plein et ceux des emplois à temps partiel s’explique par l’accroissement du travail à temps partiel subi au cours de la phase initiale de la reprise
Les effets de composition globaux liés aux épisodes de chômage pèsent sur la croissance des salaires depuis la crise